Il n'y a pas même de solitude.
Dans les montagnes.
Mais des faces enflammées des faces.
Hargneuses qui ricanent.
Au seuil des maisons de boue craquelée.
Ce volume, présenté dans une traduction de Pierre Leyris qui fait référence, se compose de plusieurs groupes de poèmes suivis de notes (certaines établies par T. S. Eliot lui-même). Premiers poèmes, Mercredi creux, Mercredi des cendres, Poèmes d'Ariel, Quatre quatuors, éclairent une oeuvre poétique qui a dominé la première moitié du siècle. La Terre vaine, le chef-d'oeuvre de T. S. Eliot, désormais considéré comme un classique de la poésie anglo-saxonne du XXe siècle, complète ce recueil.