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Littérature
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Debout dans les fleurs sales : 365 poèmes à déployer
Thomas Vinau
- Castor astral
- Poesie
- 12 Octobre 2023
- 9791027803644
Debout dans les fleurs sales de Thomas Vinau nous accompagne tout au long de l'année :
365 poèmes à déployer, un poème par jour.
- Après C'est un beau jour pour ne pas mourir, Thomas Vinau revient avec un nouveau livre ami. Un ami qu'on garderait au chaud, qu'on mettrait dans nos grandes poches, quand on sort de chez soi. Compagnon de nos quotidiens, de nos tristesses comme de nos moments de joie. Au bout de 365 poèmes, c'est un an de vie qui se tourne au fil des pages.
- Il nous partage ainsi 365 poèmes à dorloter, 365 raisons de se lever, ou de rester couché, 365 poèmes à se passer sous le manteau, à cacher, à glisser dans la poche de ceux qu'on aime, 365 poèmes à douter, à perdre, à retrouver, à donner, à laisser s'envoler. -
Avec ce toucher vif et vibrant dont il a le secret, Thomas Vinau nous offre en quelque deux cent trente poèmes une histoire qui écope la tempête, les nuages et les mensonges pour que seul reste l'essentiel. Sans grands gestes, en toute simplicité, le poète croque le quotidien, s'interroge sur notre présent, illustre notre condition humaine. Juste après la pluie est un livre d'usage et de combat pour tous les jours.
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Pour échapper à un quotidien stressant, un couple trouve refuge au milieu des herbes folles, dans les ruines d'une maison familiale. Lui reconstruit, elle jardine. Et tandis que les blessures du passé surgissent entre les fissures des pierres, chacun se reconquiert, redécouvrant le goût de la vie et le chemin lumineux qui conduit à l'autre...
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« Nous sommes là nous aussi, au fond du trou, au fond de la nuit, au fond des gouffres pour abreuver de nos larmes les fourmis. » - Thomas Vinau explore ici les abîmes de l'enfance et de la solitude. Dans ce récit hanté par les fantômes et les ombres mystérieuses, l'imagination et la littérature sont les seules échappatoires.
- L'enfant grandit dans l'ombre de son père, le gouffre devient alors un refuge à la fois effrayant et rassurant. Il s'évade dans son jardin secret où la nature reprend ses droits. Il navigue à travers les contes et la poésie d'Emily Dickinson.
-Cependant, l'enfant va devoir abandonner l'ombre d'Emily et laisser derrière lui ce monde imaginaire qu'il a construit depuis l'enfance pour accomplir une quête initiatique. -
Entre poèmes devenus introuvables et textes inédits, Le Coeur pur du barbare de Thomas Vinau redonne un sens poétique aux petits riens du quotidiens.
Thomas Vinau a remonté le fil des ans pour retrouver des poèmes devenus introuvables ainsi que des textes inédits.
Le Coeur pur du barbare se compose de trois parties dont les deux premières ont connu une première vie : Fuyard debout et Les derniers seront les derniers . La troisième sec- tion, Poèmes d'une Amérique imaginée , est entièrement inédite.
- L'auteur assemble des petits riens du quotidien comme l'orage d'un soir d'été, la lumière d'une fin de journée ou le souvenir fugace d'un rêve. Il leur apporte une valeur profonde, parfois philosophique, toujours émouvante, sous l'égide des artistes qui le fascinent et le nourrissent, comme Richard Brautigan, Raymond Carver, John Fante, Arthur Rimbaud, Sylvia Plath, Jim Morrison ou Basquiat.
Il y a des monstres qui sont très bons, prix Kowalski des lycéens en 2018 -
Gaspard fuit dans la forêt avec son chien. Il a peur, il a froid, il a faim, il court, trébuche, se cache, il est blessé. Un homme le recueille. L'enfant s'en méfie : ce Jean-le-blanc, est-ce un sorcier, un contrebandier ? En 1907, Georges Clemenceau crée les Brigades du Tigre pour en finir avec « ces hordes de pillards, de voleurs et même d'assassins, qui sont la terreur de nos campagnes ». Au mois de juin, la toute nouvelle police arrête une soixantaine de voleurs, bohémiens et déserteurs réunis sous la bannière d'un certain Capello qui terrorisait la population en se faisant appeler la Caravane à Pépère. C'est avec eux, que Gaspard, l'enfant insoumis, partira un matin sur les routes.
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Vivement pas demain : petites proses de rien posées la dans la main
Thomas Vinau
- La fosse aux ours
- 3 Février 2022
- 9782357071698
Le froid est plein d'or. La mort pleine de couleurs. Dimanche trottine tout nu sur le parquet gris clair. Demain c'est la rentrée. On pousse les volets, on ouvre les fenêtres et les portes des cages. Un rayon beau comme un sabre de bourreau tranche la robe des dernières roses blanches qui osent tenir tète à septembre. Le café´c'est doux et amer à la fois c'est sûrement pour cela que je l'aime tant. Pas à pas dans les petits pas d'aujourd'hui. Une joue salie de chocolat, l'odeur d'un cartable neuf. On va laisser le froid un petit peu entrer puis en fermant la porte le chaud sera plus chaud. Chaud comme un dimanche de rentrée. La vie c'est aussi beau que de jouer aux billes avec des crottes de lapin. Vivement pas demain.
Petites proses de rien posées là dans la main.
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Il vise le ciel et tire
Thomas Vinau
- La boucherie litteraire
- Sur Le Billot
- 15 Janvier 2021
- 9791096861323
Ensemble de poèmes écrits autour de l'oeuvre de Miles Davis. A propos de ce recueil Thomas Vinau dit : " Je ne suis ni musicien ni spécialiste de l'oeuvre de Miles Davis ou d'autre chose. Je fonctionne avec l'art comme avec les arbres, les humains ou les nuages. Je trempe ma langue, mes yeux, mes sens. J'y goûte avec ma naïveté sincère ou ma mauvaise fois, ma tristesse ou ma morgue d'enfant, ma joie et ma colère.
Et quand ça tient bon, que ça tient chaud, simplement, bêtement presque, comme un chien qui joue avec des mots, je renvoie la balle que je n'ai pas. Pour dire merci.
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Journal de notes poétiques tenu entre 2009 et 2010 lorsqu'à travers la porte vitrée d'un nouveau bureau l'auteur tentait d'arpenter son pays imaginaire dans les rainures humides des tronc d'arbres et les planches bancales d'une vieille cabane.
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Ferme ta gueule s'il te plaît je suis en train de l'écrire un beau poème d'amour
Thomas Vinau
- Les venterniers
- 1 Février 2018
- 9791092752212
Où la tendresse, l'humour, la séduction et la provocation se sont donnés rendez-vous et se bousculent comme des enfants dans la cour de récré. Des billets doux parsemés au quotidien à l'attention de l'être aimé. Dans toutes les pièces de maison, à tout moment de la journée. Le moindre geste de la main, la moindre expression bizarre, donnant lieu à la joie.
On est loin des déclarations cérémonieuses ! Ce livre, c'est de la triche, non ? Ce ne sont même pas des haïkus, ça n'a rien d'un recueil de poèmes et ce n'est peut-être même pas un vrai livre. Oui, plutôt jeux de style, ces faux-haïkus rompent avec le déjà-lu et exercent une magie nouvelle. Une expression singulière, qui tire sa force de sa simplicité et de sa délicatesse.
Un livre de poche fait main : reliure japonaise et motif de kimono en couverture. -
«J'aurais été incapable d'expliquer pour quelle raison je m'étais mis à suivre Marcello.»Voilà l'histoire de l'insistante et hasardeuse collision entre un étudiant tordu et un vieux loup de mer mystérieux. L'histoire de certains qui ont eu vingt ans en l'an 2000 sans trop savoir quoi en faire. L'histoire du fantôme de Marcello Mastroianni. D'un retour vers le futur. D'une enquête sans inspecteur Gadget. D'un jardin secret et d'une étrange tripotée de bestioles. D'une errance, qui pourrait bien finir par se transformer en un chemin.
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Depuis toujours, Thomas Vinau s'intéresse aux choses « sans importance » et aux trucs « qui ne poussent pas droit ». Ce livre a poussé, sauvage, marginal et a priori anecdotique. Ici, on se penche sur le discret, le fragile, le désordonné, l'inattendu et les saveurs secrètes d'un quotidien enchanteur. Jadis paru chez les éditions de la Pointe Sarène, Thomas Vinau rallume ce petit chant tordu et décalé d'hommages en mauvaises herbes.
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Comme un lundi ; carnet de bord assis tout au bord du temps
Thomas Vinau
- La fosse aux ours
- 23 Août 2018
- 9782357071339
Avec de´licatesse et poe´sie Thomas Vinau, chante « la petite fume´e de nos vies ».
Il cherche le mot juste pour dire la solitude des matins gris, la lassitude des jours qui se ressemblent, puis, comme un e´clair, la beaute´ d'un instant suspendu.
Ses poe`mes en prose sont a` la fois me´lancoliques et lumineux.
Lire Thomas Vinau c'est porter un regard diffe´rent sur les choses et les situations du quotidien. C'est se laisser entrai^ner dans une re^verie poe´tique, des textes courts ou` les e´motions se chevauchent, nous faisant passer du sourire a` la profondeur.
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C'est un beau jour pour ne pas mourir ; 365 poèmes sous la main
Thomas Vinau
- Castor astral
- Poesie
- 7 Mars 2019
- 9791027802074
365 poèmes, un texte par jour. Un instant de poésie dans le quotidien.
Après Des étoiles et des chiens, Thomas Vinau revient au Castor Astral avec un nouveau livre ami. Un ami qu'on garderait au chaud, qu'on mettrait dans nos grandes poches, quand on sort de chez soi. Compagnon de nos quotidiens, de nos tristesses comme de nos moments de joie. Au bout de 365 poèmes, c'est un an de vie qui se tourne au fil des pages. -
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Qu'est-ce qu'un catakit ? Quelle est la différence entre un bon vivant et un bon survivant ? Peut-on s'hydrater avec de l'eau de vie ? Quelles est la valeur nutritionnelle d'un rêve ? Peut-on se sauver en se sauvant ? Les lapins sentent-ils venir la mort ? Autant de questions que Victor, père de famille et gentil looser, ne s'set jamais posées... jusqu'au jour où il se retrouve enfermé dans sa cave avec un chien et un lapin pendant que le monde s'écroule. Survivaliste pathétique, cet anti-héros ironique et incisif dit, sur un mode burlesque, quelque chose de nos aspirations et de nos échecs.
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Papier plié. Récit d'une incursion en forêt, poétique et initiatique.Extrait : Il caressa, hors de tout temps, le sommier grouillant et humide du monde en respirant profondément. Parfaitement vaincu, il eut l'impression de pouvoir enfin commencer à penser normalement. Les mots n'étaient plus des clous qu'il s'enfonçait dans la tête mais des portes qui ouvraient sur de nouvelles pièces.
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Le récit de l'errance poétique d'un homme après que sa femme l'ait quitté. Universel.
Joseph, 37 ans, mène sa barque comme il peut. Comme tout le monde. Atteindre le soir, le lendemain. La fin du mois. Les prochains congés. Finalement rien n'a changé depuis l'enfance. Mais il n'est plus un enfant, il en a un, Noé, et le bateau prend l'eau. La mère de l'enfant s'en va puis l'enfant à son tour - le temps des vacances. Joseph déboussolé prend le maquis. Le baron perché se serait réfugié dans son arbre, Alexandre le Bienheureux dans son lit, Robinson dans la boue de ses sangliers. Joseph, lui, commence par grimper dans la cabane qu'il a construite dans un arbre du jardin. Object : ranimer ses rêves. Puis il découvre un second refuge : les autres, leurs histoires, leur présence... -
Des étoiles et des chiens ; 76 inconsolés
Thomas Vinau
- Castor astral
- Curiosa & Caetera
- 5 Avril 2018
- 9791027801565
La suite tant attendue des 76 Clochards célestes ou presque Après le succès des 76 Clochards célestes ou presque, Thomas Vinau revient avec sa suite très attendue : des portraits d'artistes décalés, abîmés, des inconsolés qui nous consolent. Ces destins extraordinaires sont présentés avec la sensibilité de Thomas Vinau, qui mêle fulgurance et écriture de l'intime. Ce sont des portraits teintés d'une poésie du quotidien, oscillant entre les caresses et les crocs, qui donne envie d'en savoir toujours plus sur ces artistes.
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Un recueil de poèmes sur l'homme, ses interrogations et ses tourments.
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Nos cheveux blanchiront avec nos yeux
Thomas Vinau
- 10/18
- Domaine Francais
- 16 Août 2012
- 9782264058966
Le voyage géographique et intime d'un jeune homme qui devient père. Walther quitte la femme qu'il aime pour aller vagabonder du nord au sud, des Flandres laiteuses jusqu'à l'Espagne éclatante. Un voyage qui finira par le ramener, presque par hasard à l'essentiel, vers celle qui a su le laisser partir et attendre leur enfant...
Composé d'instantanés d'une grande délicatesse, ce roman est conçu en deux parties : les jours d'errance puis la vie à demeure, les lointains dépaysants et l'art des petits riens. -
Chronique des manches retroussées du ciel et des matins qui passent. Textes de rien, de faim et de soif. Il y a chaque jour des gris à habiter et des couleurs à faire pousser. Il faut chaque jour plonger ses mains dans le cambouis, se coltiner au peu, au rien, aux petites beautées ratées.
Ce sont des choses insignifi antes qui nous sauvent ou qui nous achèvent, qui nous écrasent ou nous tiennent debout. Le bruit qu'on fait quand on trébuche sort de nos bouches, c'est comme ça qu'on apprend à marcher, avec des mots. Avec nos mains. Comme le manoeuvre ou l'ouvrier. Tous les soirs le jour tombe, tous les matins il se relève, enfi le son bleu de travail, part au trimard. À chaque jour su t sa peine mais la peine ne su t pas au jour.
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(.) À quoi bon vouloir introduire, prévenir, analyser, « dé crypter » (la tendance actuelle des pseudo-journalistes de l'info !) cet « autre chose » ? Le lecteur n'est pas un idiot. Il poussera la porte, posera le pied dans un monde qui, au début, pourra lui paraître bizarroïde. Il découvrira un univers pas bien grand, mais profond, où l'incongru flirte avec le comique, le tragique avec la légèreté, l'angoisse avec l'émerveillement. Celui que j'ai appelé une fois, dans un article, « le loustic », est décidément un drôle de zigoto. Il a le don de surprendre, d'intriguer son lecteur. Voire de l'énerver ou de l'agacer. Je me dis qu'il a sans doute trop ten-dance à se retourner dans son lit, la nuit. Pas si serein que ça ? Dommage ! Car il sait capter, en douceur, les perles rares du bonheur, ce « temps qui se mesure en tendresse » comme dans ce très beau texte, « La luzerne ».
François de Cornière (extrait de Ceci n'est pas une préface)