Une desmeilleures ventes Albouraq.
Un Coran Bilingue Arabe-Français avec une couverture cartonnée.
Le texte arabe est face au texte de la traduction française.
Une bonne introduction et des excellentes notes de bas de page.
Excellent rapport qualité-prix.
C'est une vie marquée par la tragédie qui s'achève brusquement par un suicide le 11 février 1963. Sylvia Plath, femme solaire et désespérée, avait alors à peine trente ans. Elle laissait derrière elle une oeuvre qui contribue aujourd'hui au rayonnement de la poésie américaine du XXe siècle.
Née dans une famille d'immigrés allemands du Massachusetts, formée à l'université de femmes de Smith College, mariée à Ted Hughes, qui fut l'un des poètes anglais les plus importants de sa génération, Sylvia Plath fascine autant qu'elle émeut, sa poésie surprend et bouleverse. Son destin tragique est celui d'une femme douée dé talents, d'une beauté et d'une énergie exceptionnels, à la fois démesurément ambitieuse et profondément blessée par une histoire familiale douloureuse, puis par l'échec de son mariage. Son cheminement est celui d'une femme de lettres dans la création, avec ses passions, ses luttes et ses contradictions. L'histoire de sa vie se confond avec la détermination à faire de soi un grand écrivain et à en payer le prix.
L'imam al-Nawawî, grand traditionniste dont les ouvrages les plus célèbres traduits enfrançais sont : les quarante hadiths, les jardins de la piété (Riyâd al-
Sâlihîn), le livre des invocations (al Adhkâr), recueille dans ce livre un grand nombre de hadiths Qudsi qu'il classe par thème pour en faciliter l'accès aux
lecteurs, II est mort à Nawâ (Syrie) en l'an 1277 J.C.
L'auteur a choisi de réunir quarantes Hadiths (conseils-récits du Prophète) parmi les dizaines de milliers rappartés par la tradition musulmane. Il
considère que chacun des hadiths sélectionné constitue une base essentielle de la religion musulmane.
L'ouvrage est en Bilingue arabe-français. Tout le texte arabe est vocalisé. Ceci facilité beaucoup la lecture pour les débutants.
En 1948, dans sa préface à Moustiques , Raymond Queneau notait déjà que "de tous les écrivains américains, Faulkner est celui dont la vie nous paraît la plus mystérieuse". Et Sartre, pas moins intrigué par l'homme derrière l'écrivain, concluait son essai sur Sartoris . par ces mots : "Il faudrait le connaître". Plus d'un demi-siècle après sa mort, on dispose de plus de cinq-cents de ses lettres, de l'ensemble de ses entretiens publiés, des témoignages de ses proches et de ses amis, et du travail de plusieurs biographes. Il n'est pas sûr que le souhait de Sartre ait été pour autant exaucé, nous n'avons pas fini de nous demander comment un petit poète anachronique du fin fond du Mississippi a pu devenir l'un des plus grands romanciers du vingtième siècle.
Faulkner lui-même, à en croire une de ses lettres à Malcolm Cowley, eût aimé n'être connu que par ses livres. Mais en 1949, quand il écrivit cette lettre, le mal était déjà fait. Faulkner n'avait pas seulement écrit des livres, mais l'auteur de ces livres était déjà une figure publique, et à la fin de la même année, à Stockholm, la majorité des membres de l'Académie suédoise était déjà prête à lui attribuer le Prix Nobel de littérature. Faulkner mourut célèbre et comblé d'honneurs, la photo du gentleman-farmer en veste de tweed usagé fut dans tous les journaux, et dès sa mort, les biographes se mirent au travail. Les misères de sa vie privée sont désormais des secrets de polichinelle. L'énigme Faulkner n'en continue pas moins à nous fasciner.
Aimé CESAIRE, (1913-2008) élève brillant du Lycée Schoelcher de Fort-de- France, poursuit ses études secondaires en tant que boursier du Gouvernement Français au Lycée Louis Le Grand, à Paris. C'est dans les couloirs de ce grand lycée Parisien que, dès son arrivée, le jeune CESAIRE rencontre Léopold Sédar SENGHOR, son aîné de quelques années qui le prend sous son aile protectrice et fondent avec d'autres le mouvement littéraire de la négritude.
Poète (Cahier de retour au pays natal), essayiste, dramaturge, Aimé Césaire est de ces poètes dont à du mal à rendre compte de l'oeuvre, tant la production est immense.
Ce livre sur la vie et l'oeuvre de Michaux est la réflexion personnelle d'un disciple, qui ne dissimule pas sa ferveur. Il essaie de montrer comment, dans son cas, le destin de l'homme se confond avec le parcours du poète. Belge de naissance, dont la patrie est la langue française, poète devenu aussi un grand peintre, enfant attiré par les vies de saints, adulte tenté par les excès de l'esprit, en quête enfin, au grand âge, d'une sagesse nouvelle qui a retenu les leçons des mystiques d'orient et d'occident, il a passé sa vie à " se parcourir ", à prendre possession de toutes les richesses latentes dans " l'espace du dedans ", pour atteindre ou du moins approcher une forme de grandeur dont il pressent qu'elle est " la vraie mesure et capacité de l'homme, de l'homme insoupçonné ".
c'est une oeuvre majeure que celle de pierre jean jouve, alliant psychanalyse et mysticisme.
durant la période de la première guerre mondiale, l'auteur subit l'influence unanimiste, vit une grande amitié avec romain rolland et écrit des ouvrages teintés de tolstoïsme, généreux et pacifistes. de 1921 à 1925. il traverse une profonde crise intellectuelle qui l'amène à renier, à quarante ans, la totalité de son travail antérieur. cette rupture est d'abord d'origine mystique, jouve avant la révélation que la grande poésie est d'essence spirituelle et chrétienne.
en 1921, il a croisé sur sa route la psychanalyste blanche reverchon qui lui a fait découvrir les abîmes de l'inconscient humain. son écriture en sera définitivement transformée. pendant la seconde guerre mondiale, pierre jean jouve s'engage, par ses écrits. contre le nazisme puis, à l'issue du conflit, il accomplit un retour vers lui-même et marche, durant les dernières années de son parcours, vers sa " chine intérieure „ marquée par des poèmes et de profondes lectures de grandes compositions poétiques et musicales.
pierre jean jouve, né à arras en 1887, auteur d'une oeuvre tourmentée et admirable, s'est éteint en 1976 à paris.
Le destin de Ted Hughes a cette rare particularité d'avoir inextricablement épousé celui d'une poétesse de force comparable. Mais ni lui ni Sylvia Plath n'aurait atteint pareille gloire l'un sans l'autre. Sylvia a puissamment voulu se donner la vie et la mort qu'il fallait pour se métamorphoser en une poésie qui demeure. Elle s'est immortalisée si fort que Ted aurait pu ne pas lui survivre autrement que comme un personnage dans le poème de sa vie. Mais il n'en est rien, loin s'en faut, car Ted Hughes fut un homme secret autant qu'un poète profond. La vie de Hughes est sombre comme ses écrits, parce qu'il voyait dans ses poèmes les manifestations erratiques et aléatoires de la vie souterraine de l'esprit. Il croyait que notre vie consciente n'était que la pauvre surface d'une riche épopée invisible. Les poèmes étaient pour lui des lettres en partie détruites que nous recevrions d'un autre monde. Sans doute n'était-ce là qu'une illusion, mais elle avait ses racines dans l'Angleterre dont il était issu. Car il venait du monde rural du nord, encore hanté par des superstitions ancestrales. Il préférait cette vie animale des esprits à la triste existence machinale de l'homme moderne. La vie des plus grands poètes est une allégorie, disait Keats : leur poésie en est la seule trace écrite qui vaille.
On ne saurait lire ce qui est le plus étonnant dans le destin de john keats : la fulgurante brièveté de sa carrière poétique, le gouffre qui sépare l'étroitesse matérielle de sa vie des univers de son imaginaire, ou encore les sidérantes métamorphoses de son écriture.
Quel lecteur, ignorant l'existence de keats (folle supposition), pourrait deviner qu'endymion, hypérion et les odes sont de la même main ? ces écritures se nourrissent pourtant d'une source unique : celle de la perte d'un amour premier dont keats ne put jamais faire le deuil. plaçant ainsi son univers sous le soleil noir de la mélancolie. " exister ", ce fut pour le poète apprendre à vivre avec cet impossible deuil.
Ecrire, c'était reconstruire par les mots la relation à la chose perdue. jusqu'au jour oú la quête mélancolique s'incarna dans l'amour le fanny brawne : passion certes condamnée par la maladie, mais déjà en elle-même tragique, puisqu'en la femme aimée c'était l'auge, la chose perdue, que recherchait inconsciemment le désir. cette " existence intime de keats se donne à lire bien sûr dans les lettres d'amour : mais elle fait trace surtout dans le champ poétique, ce lieu paradoxal oú le poète fait de son manque la substance de l'oeuvre.
Ce livre qui est une vaste fresque consacrée à l'histoire de l'univers, depuis la création du Trône "El'Arch" et du Siège "Koursi", en passant par la Table bien gardée "Al-Lawh al-Mahfoudh", les cieux et la terre, les anges...traite dans un style facile et agréable des biographies des Prophètes et Messagers de Dieu, depuis Adam, jusqu'à Jésus. Cette oeuvre s'est imposée, comme une référence dans les milieux de l'Islam, pour la connaissance de la vie des Messagers de Dieu aussi bien ceux qui sont citées dans le Coran que d'autres.L'imâm Abou al-Fidâ 'Imad ad-Dîn 'Isma'îl Ibn Oma Ibn Kathîr al-Qorâchi al-Basrânî naquit en 701 h à Mijdal, un village dans les faubourgs de Bosra, au sud de Damas. Son père était prédicateur. Il mourrut alors qu'Ibn Kathîr avait quatre ans. Son frère, le cheikh Abd al-Wahâb prit soin de lui et veilla sur son éducation. Il déménagea à Damas en 706 h quand Ibn Kathîr avait cinq ans. Il a écrit plusieurs livres, dont :
- La célèbre exégèse connue sous le nom de "Tafsîr Ibn Kathîr". Ce livre compte parmi les meilleurs livres basés sur les diverses techniques d'exégèse. - Le célèbre livre d'histoire connu sous le nom de "al-Bidâya wa an-Nihâya" - La Biographie du Prophète (bsl) "as-Sîra an-Nabawiyya sous le nom de al-Foussoul fî Ikhtisâr Sirat ar-Rassoul".
Il mourut à Damas en 774 h.
un joli nom, catherine pozzi, qui sonne doux-étrange.
celle qui écrit ces mots dans son journal, le 1l novembre 1917, représente pour ses contemporains la femme élégante que les personnalités les plus en vue côtoient dans les salons mondains. de rares privilégiés comme julien benda, pierre jean jouve, ernst robert curtius, louis massignon, jacques maritain et marie de régnier, la très fidèle amie, témoignent de l'originalité de sa conversation, de son érudition et de l'exigence de sa réflexion.
en 1920, sa rencontre avec paul valéry initie une passion où le dialogue amoureux se nourrit de la volupté de l'intelligence. révélée au public par le travail de recherche et d'édition de lawrence joseph et de claire paulhan, catherine pozzi, dont le nom reste associé à une oeuvre essentiellement posthume, est désormais " hors la nuit des archives ". en écho aux paroles de jean paulhan, qui déclarait connaître ses vers par coeur, elle affirmait à la fin d'une vie marquée par un travail opiniâtre, constant défi à la maladie qui l'emportera à cinquante-deux ans : je suis évidemment, et je ne suis que poète.
là est mon identité. la biographie de mireille diaz-florian propose le récit d'une vie où s'incarne une destinée d'écrivain. le lecteur qui s'y engage entre en résonance avec une pensée et une sensibilité visionnaires.
Ce premier numéro qui paraît en même temps que la Pléiade consacrée au poète de son vivant, est dirigé par Jérôme Thélot, professeur de littérature française à l'université de Lyon, avec des articles d'Yves Bonnefoy, de Pierre Pachet, et de beaucoup d'autres spécialistes de l'oeuvre.
L'alchimie du bonheur est l'abrégé en persan de son ouvrage le plus connu, La Revivification des sciences de la religion (Ihya ulum al-din), Il traite les grands thèmes de la vie spirituelle en Islam.
Ghazâlî était un mystique pratique. Son but était de rendre les hommes meilleurs en les conduisant d'un acquiescement simplement imaginaire dans la croyance stéréotypée de l'islam à une connaissance réelle de Dieu. Les quatre premiers chapitres de L'alchimie du bonheur sont un commentaire sur le fameux verset dans les Hadihs (dits traditionnels de Mohammad), « Celui qui se connaît lui-même, connaît Dieu »
Traduction et commentaire du Coran en français avec la version en arabe.Pourquoi cette énième édition de la traduction du Coran du professeur M. Hamidullah, après celles réalisées par de nombreuses maisons d'édition en France et dans d'autres pays ? La réponse est simple : Ces traductions du Coran attribuées à tort au professeur Hamidullah, sont l'oeuvre de personnes travaillant dans le complexe du roi Fahd de Médine (Arabie saoudite), qui se sont contentées de modifier la traduction du professeur M. Hamidullah sans son accord, ce qui constitue une atteinte à sa propriété intellectuelle. La plupart des modifications sont minimes, comme changer le mot Dieu par Allah, mais certaines sont graves du fait qu'elles touchent au sens de certains versets, comme dans la sourate Mohammed 47, verset 35 :Traduction du professeur M. Hamidullah : « Ne faiblissez pas, donc, mais appelez à la paix alors que vous avez le dessus. Dieu est avec vous. Il ne portera pas préjudice à vos oeuvres. »Traduction du complexe du roi Fahd : « Ne faiblissez donc pas et n'appelez pas à la paix alors que vous êtes les plus hauts, qu'Allah est avec vous, et qu'Il ne vous frustrera jamais (du mérite) de vos oeuvres. »Pour notre part, nous pensons que le plus préjudiciable dans ces Corans modifiés et distribués à grande échelle depuis plusieurs années en France et dans les pays francophones est la suppression des milliers de notes et commentaires du professeur M. Hamidullah, qui sont d'une richesse inestimable sur les plans théologique, linguistique et historique. A notre connaissance, ce grand savant, qui parlait 32 langues, était le seul traducteur et commentateur du Coran qui connût la plupart des langues des territoires où ont prospéré la plupart des religions anciennes et nouvelles.Que Dieu récompense le professeur M. Hamidullah pour tous les ouvrages qu'il nous a légués, et tous ceux qui l'ont aidé !
Algernon Charles Swinburne est né en 1937 à Londres et mort en 1909.
C'est un devoir de mémoire que d'honorer l'oeuvre de ce grand poète francophile qui plaçait Hugo, Balzac et Baudelaire au faîte du panthéon de la littérature. Héritier des Romantiques anglais, Swinburne est le maillon qui fait passer la poésie britannique dans la modernité. Souvent blasphémateur et provocateur par son comportement en ses jeunes années, il persista à faire oeuvre de transgression tout au long de sa vie par son maniement de la forme poétique et l'exploration décisive des ressources du signifiant.
Il n'eut de cesse, en effet, de s'acheminer vers ce que l'on ne peut qu'appeler l'expression totale du verbe: faire parler et, surtout, chanter le désir, trouver les formes disant le corps aussi bien que la pensée et l'émotion, telle fut l'intention de Swinburne et la signification profonde de ses audaces créatrices si peu comprises par ses contemporains. Il s'agissait pour lui de toucher cette pointe extrême de l'intensité poétique faisant sentir à son lecteur la sublimité de l'être humain dans son rapport à la langue.
Les textes de ce recueil non seulement offrent une vue cohérente des aspects principaux de son oeuvre abondante, mais ils s'attachent aussi à faire sentir cette constante de son écriture. Les traductions inédites à la fin de l'ouvrage contribuent à faire redécouvrir aux lecteurs la pertinence de sa vision critique et l'étrange beauté de sa vision poétique.
Une idée originale et poétique pour toutes les occasions pour offrir un bouquet de poèmes comme on offre un bouquet de fleurs. Dans chaque pochette il y a 8 poèmes qui font exactement 10 grammes de poésie, signés Rimbaud, Baudelaire, Ronsard ou Hugo.
Le Prophète Gibran Khalil Gibran, le poète libanais, l'artiste accompli, l'écorché vif par la vie, a vécu humble tout au long de son existence. Du Liban profond qu'il a quitté très jeune avec sa mère, il en a gardé la sensibilité d'une culture sémite très portée sur le sens des choses. De la vie matérielle à la vie spirituelle, il se voulait le chantre d'un équilibre, de l'équilibre absolu de l'existence. Une existence en phase avec la réalité de l'être humain, esprit et corps, âme et coeur. C'était cela l'auteur de l'immense oeuvre, « Le Prophète », qu'il laisse à la postérité.
On a demandé à une belle-mère : n'étiez-vous pas vous-même une belle-fille ?.
Elle a répondu : certainement, mais j'ai oublié. la vie est comme de l'eau salée : plus on en boit, plus on a soif. la mère du lâche ne connaît ni joie ni tristesse. quand les pauvres se marient, les mendiants prolifèrent !. celui qui ne sait pas sourire ne doit pas ouvrir un commerce
Dans ce cahier de calligraphie, le professeur Salah Moussawy propose une méthode d'apprentissage du style Coufique.
Ce style est caractérisé par des lettres s'écrivant exclusivement sous forme géométrique.
Il apprend à l'élève à préparer son calame, à maîtriser les proportions des lettres et enfin à s'exercer sur des oeuvres.
Jalonnée de conseils pratiques et de réflexions pertinentes, la méthode proposée par Salah Moussawy laisse à l'élève une liberté pour gérer ses gestes et ses choix tout en appliquant et respectant les règles et les principes de la calligraphie arabe.
Tracer les formes de l'Amour avec son calame, maints calligraphes s'y sont essayés pour partager l'essence du mot et l'exprimer dans le signe qui lui donne un nouveau souffle, une autre vie.
Calligraphier l'Amour c'est entrer dans la ronde de la lettre et de l'esprit en une danse sensuelle qui unit le calligraphe au poète, le calligraphe au mystique. Salah Moussawy, en se replongeant dans les vers inégalés du grand mystique Jalal ud-Din Rûmi, nous fait redécouvrir dans cet ouvrage les doux tourments de la quête divine à travers de magnifiques calligraphies.