Après l'immense succès remporté par le premier volume, la suite très attendue des Mémoires de Catherine Nay.
Elle couvre les années 1995-2017, de l'élection de Jacques Chirac à celle d'Emmanuel Macron. Près de trente ans de vie politique et journalistique, mais aussi personnelle, racontés avec le même sens du trait, de la formule incisive, la même intensité romanesque qui font de Catherine Nay une observatrice et une narratrice hors pair, souvent mordante et toujours savoureuse.
Également chez Pocket : Souvenirs, souvenirs...
Parce que ça ne va pas fort, si ? Moyen-moyen depuis trois ans... Chaque vendredi matin, sur France Inter, François Morel prend le pouls de l'actualité. Faiblard, le pouls. Mais encourageant, le pronostic. Ça va aller, qu'il dit. Promesse de Normand...
Qu'il traite du (triste) spectacle du monde ou dresse un éloge des Charentaises, c'est avec la fantaisie d'un Vialatte qu'il chronique nos années - les pires qu'aient connues l'humanité, à part bien sûr toutes celles d'avant.
Tous les succès de FRANCOIS MOREL sont chez Pocket.
Grande familière des coulisses du monde politique, Catherine Nay nous offre dans ses Mémoires, un récit original et perspicace, plein d'humour, d'intelligence et de vivacité, des règnes successifs de Pompidou, Giscard et Mitterrand, à l'élection de Jacques Chirac, une chronique intime de cet univers de passions où s'affrontent des personnages hors normes dont elle recueille les confidences, décrypte les facettes les plus secrètes ou les mieux dissimulées.
Sous le regard de cette enquêtrice aguerrie, le pouvoir apparaît tel qu'il est : une comédie romanesque faite de sensibilités particulières, par-delà les idées et les convictions. Catherine Nay la raconte sans cacher ses coups de coeur ni ses partis pris.
Ce livre a reçu le Prix spécial du jury du livre politique.
Dans cette série d'entretiens avec la journaliste Catherine Lalanne, Yasmina Khadra retourne aux sources de sa vocation, contrariée par son destin miliaire. Arraché aux siens et privé de son enfance, le petit pensionnaire de l'École des cadets se réfugie dans l'amitié de ses camarades d'infortune et trouve la force d'accomplir son rêve d'écriture. Ni les années de combat dans le terrorisme, ni les comités de censure algériens ne l'empêcheront d'aller à la rencontre de millions de lecteurs dans le monde. Un destin hors norme, raconté sans détour, porté par le souffle de ses ancêtres poètes et l'amour d'une femme d'exception, une femme qui a donné son nom à l'auteur qu'elle aime et qui s'exprime ici pour la première fois.
Tous les jours, près de chez vous, un bon père de famille couche avec sa petite fille de neuf ans. Ou parfois elle lui fait juste une petite fellation. Ou c'est une grande soeur avec sa petite soeur. Dans cette anthropologie de l'inceste, Dorothée Dussy se penche sur les mécanismes complexes par lesquels l'inceste est couramment pratiqué dans l'intimité des foyers français.
À la faveur du réel, et de la banalité des abus sexuels commis sur les enfants, l'inceste se révèle structurant de l'ordre social. Il y apparaît comme un outil de formation à l'exploitation et à la domination de genre et de classe. Cinq ans d'enquête ethnographique sont restitués dans ce livre : un voyage subversif au coeur de familles que rien, ou presque, ne distingue des vôtres.
« Je n'aime pas beaucoup les lettres, ni en recevoir ni en envoyer. Sauf de toi et à toi - et quelques autres. C'est ce qu'on doit appeler l'amitié », confiait-il à Michel Déon.
Tout en prenant un malin plaisir à se déclarer réticent à ce genre d'exercice, Jean d'Ormesson déploie dans l'art épistolaire autant de brio et de virtuosité que de talents de stratège et de séducteur. Il laisse libre cours, dans cette version la moins « autorisée » de son autobiographie, à son franc-parler, sa malice, son goût de l'ironie et de la facétie.
Tous les grands ouvrages de Jean d'Ormesson sont chez Pocket.
Un mari massacre sa femme d'une centaine de coups de couteau ; une jeune femme étrangle son nouveau-né à la naissance ; un jeune tue pour une cigarette refusée ; un postadolescent se radicalise et projette de se livrer à une tuerie...
Qu'y-a-t-il de commun entre tous ces cas, tous ces gens qu'on disait « sans histoire » ? Pour l'expert-psychiatre Daniel Zagury, ce basculement dans l'horreur a un nom : la banalité du mal. Aucun des meurtriers présentés ici ne relève de la maladie mentale. Ils sont votre voisin, votre époux, votre frère - des « monstres » ordinaires.
Des « barbares », comme vous et moi...
Ce livre fait partie de la sélection non-fiction du Grand Prix des Lecteurs Pocket 2023.
Dominique Farrugia, l'un des fondateurs du célèbre groupe comique Les Nuls, producteur de plus de 25 films, ancien PDG de Canal +, vit avec une sclérose en plaques depuis trente ans.
Souvent sollicité par les médias pour s'épancher sur le sujet, il avoue ne pas aimer se livrer, toucher à l'intime ou être le malade de service.
Dans ce livre, il décide de tomber le masque et de nous raconter l'enfer du décor. Sa vie avec la maladie, ce qu'elle lui a enlevé et ce qu'elle lui a apporté.
À ceux qui croient que notoriété rime avec facilités, il confie sans pudeur, son histoire ponctuée de douleurs, d'instants émouvants ou hilarants, et aussi de rencontres inoubliables.
Mais ce livre n'est pas que ça, il est aussi un gros coup de gueule contre les politiques pour qu'enfin, les handicapés soient considérés.
"en entrant dans le prétoire, j'emporte ma vie avec moi.
" tout, dans la vie de gisèle halimi, renvoie à son afrique du nord natale, à sa foi en l'égalité de tous les êtres humains entre eux. cette femme, qui fut une des premières à mettre le mot avocat au féminin, éprouve très tôt une passion innée, violente, pour la justice. c'est la guerre d'algérie qui lui dicte ses premiers combats. en défendant le f. l. n. , en militant contre la torture, elle met sa vie en danger.
La cause des femmes lui doit ses plus grandes conquêtes quand, au cours de procès retentissants, elle exige le droit à l'avortement, la répression du viol.
Ce livre résume trente années de lutte pour la tolérance et la liberté. c'est le témoignage d'une femme en colère qui s'insurge contre des lois injustes et archaïques, et découvre l'irrespect comme une forme de courage et d'héroïsme. le témoignage d'une femme de coeur.
"Elle s'appelait Alexia. C'était notre fille. Et cela fait quatre ans qu'elle a été tuée par celui qui lui avait promis de l'aimer. Depuis, nous ne vivons plus. Nous survivons.
Comment avons-nous pu supporter une telle horreur depuis ce 30 octobre 2017 où nous avons appris par la télévision que le corps d'une jeune femme venait d'être retrouvé dans la forêt d'Esmoulins à quelques kilomètres de chez nous, alors que nous cherchions Alexia depuis deux jours ?" Le 30 octobre 2017, il est environ 15 heures lorsqu'un élève gendarme découvre dans un fourré, en lisière du bois d'Esmoulins, le corps sans vie et partiellement calciné d'une jeune femme simplement habillée de sa tenue de sport. Pour le jeune militaire, il n'y a guère de doute. il s'agit très certainement du corps d'Alexia Daval, disparue deux jours plus tôt. La confirmation deux jours plus tard de l'identité du corps retrouvé provoque l'effroi et fait basculer les parents d'Alexia dans l'horreur.
Pendant trois mois, leur gendre Jonathan, le tueur de leur fille, s'assoit à leur table, pleure avec eux, parle d'Alexia, évoque son absence, son amour et son impossible vie sans elle, alors que dans la nuit du 27 octobre 2017, il l'a frappée à mort avant de l'étrangler, de transporter son corps dans la forêt au petit matin et d'y mettre le feu.
Quatre ans après avoir vécu l'insoutenable, Isabelle et Jean-Pierre Fouillot, les parents d'Alexia, ont choisi de raconter leur histoire pour lui rendre hommage, la faire revivre, tenter d'oublier " l'affaire Daval " et de comprendre enfin ce qui est arrivé à leur fille. Un incroyable scénario qui nous est raconté de l'intérieur, au plus près du tueur, par l'ensemble de celles et ceux qui l'entouraient lors de ces longues soirées de mensonge, de douleur et de manipulation.
À 78 ans, l'inoxydable homme de télévision, symbole national de la bonne forme, par un sale coup du sort, se voit diminué, fini.
À la fois apeuré et déterminé, peu à peu, il va revenir vers la lumière. Ce récit où il se juge condamné, devient, au fil des semaines, celui de sa renaissance. Une ode à notre santé publique. Un espoir pour tous ceux qui affrontent la maladie. Avant, contre toute attente, un retour ému à l'antenne.
Tous les succès de Michel DRUCKER sont chez Pocket.
Crimes passionnels, historiques, erreurs judiciaires, combats sociétaux...Toutes sortes de procès ont façonné l'histoire de notre pays et marqué les mémoires : Papon, Barbie, Courjault, Kerviel, Seznec, Outreau...
À chaque fois, un homme, une femme a fait la différence. Les mots claquent, émeuvent, emportent. Maîtres Vergès, Halimi, Badinter, Dupont-Moretti se succèdent ici à la barre, prouvant qu'à défendre une cause ou un individu, c'est de l'humanité, avant tout, qu'ils se font l'avocat.
Sodoma décrit la face cachée de l'Église : un système construit depuis les plus petits séminaires jusqu'au Vatican à la fois sur la double vie homosexuelle et sur l'homophobie la plus radicale. La schizophrénie de l'Église est insondable : plus un prélat est homophobe en public, plus il est probable qu'il soit homosexuel en privé.
Pendant quatre années, Frédéric Martel a vécu en immersion à l'intérieur du Vatican. Cette enquête vertigineuse en révèle le secret.
Édition augmentée.
Deux hommes vrais, dans un dialogue complice, émouvant, sans concession. Un portrait inédit et passionnant. Celui d'un personnage fort en gueule, d'une énergie débordante, intrépide et provocateur.
Un autodidacte issu d'un milieu très modeste qui a eu mille vies. Bernard Tapie, l'une des personnalités françaises les plus populaires et authentiques, dont toute la France a suivi les aventures mouvementées et qui aura marqué la politique, le sport, le monde des affaires pendant près de cinquante ans.
Voici le récit du plus célèbre évadé de france ! condamné en 1933 au bagne, pour un meurtre qu'il n'a pas commis, henri charrière, dit "papillon", en réchappera treize années et quelques tentatives d'évasion plus tard.
Entre ces deux dates, l'"enfer vert"! des années de réclusion totale aux îles guyannaises du salut, des cavales en pleine jungle colombienne entrecoupées d'un intermède paradisiaque chez les indiens guajiros.
Une épopée sur terre et sur mer qui s'achève par l'ultime évasion, la plus risquée, la plus désespérée, à bord d'un simple radeau, pour une traversée de l'océan impossible.
Et pourtant, au bout, c'est la liberté !
On sort secoué, épaté de ce livre comme d'un superbe roman d'aventures. à la différence près, qu'ici tout est vrai !
« Jean McConville avait trente-huit ans lorsqu'elle disparut, et elle avait passé près de la moitié de sa vie enceinte ou à récupérer d'un accouchement. » Par ces mots, le journaliste américain Patrick Radden Keefe réveille les démons d'un pays traumatisé. Car l'enlèvement de cette mère de famille, en 1972, sous les yeux de ses enfants n'a jamais quitté la mémoire des catholiques de Belfast. La jeune femme avait-elle vraiment trahi l'IRA ? Bravant l'omerta qui règne sur cette affaire, ce récit haletant plonge dans l'histoire des « Troubles » nord-irlandais pour en dévoiler le souvenir sanglant.
Et, sous les pavés, les derniers secrets...
Longtemps, j'ai couché de bonne heure. Et comme je faisais aussi des fautes de français, chaque fois - bien trop à mon goût - qu'on me demandait mon avis sur tel ou tel sujet, j'avais pris la fâcheuse habitude de répondre par un triple pléonasme : « Moi, personnellement, je... » Les années passant, ma pratique de la langue s'est considérablement affinée. La preuve en est que j'ai survécu dans ce monde de chiens galeux qu'est l'univers du divertissement. Que j'ai désormais plein d'avis sur plein de choses différentes. Des choses privées - qui ne le seront donc plus - des (més)aventures, des rencontres, des péripéties, des rebondissements. Rien qui pour autant ressemble - je ferai de mon mieux - à ces mémoires qui encombrent librairies et bibliothèques. Plutôt de modestes exercices de style, dans le style nouvelles, narrant des histoires plus ou moins drôles - ou pas - et saugrenues. Ou pas. Il y sera question de chiens, d'ancêtres, de musique, de littérature, de bric, de brac, d'humour, et de ce petit coeur qui bat sous la cuirasse du hussard. Je m'efforcerai d'être bref, avec ce sens du raccourci qui caractérise l'homme apercevant l'automne de sa vie. Voilà, en un mot, l'objet de cet ouvrage tant attendu, dont le titre, par sa sobriété, résume tout : Perso(s).
Il voulait juste changer le monde.
Petit génie de l'informatique, Aaron Swartz s'est toujours battu pour un Internet en libre accès. Fondateur de Reddit et de la licence Creative Commons, le jeune activiste n'a jamais abandonné l'utopie des débuts : celle d'une Toile indépendante, sans censure ni frontières - là où Etats et multinationales cherchent à faire de nos écrans un outil de contrôle. La revanche de ces derniers n'en est que plus terrible : arrêté par le FBI en 2016, Swartz se voit menacé de 35 ans de prison - une perspective qu'il fuira de la manière la plus brutale qui soit.
Portrait d'un héros tourmenté, asocial, idéaliste - fragments d'une vie météorique, d'un martyr de la liberté.
« Chaque jour, je rencontre des personnes qui rêvent de lancer leur entreprise mais qui n'osent pas. Peur de se tromper, de ne pas y arriver, d'échouer. C'est pour elles que j'ai choisi de raconter tout ce que l'on ne m'a jamais expliqué, tout ce que j'ai dû apprendre sur le terrain, en trébuchant parfois, pour mieux me relever.
Ce livre est celui que j'aurais aimé avoir entre les mains avant de commencer à entreprendre. Ici, je vous dévoile les coulisses de l'entrepreneuriat et vous livre les clés de votre réussite. » En bonus : comment créer sa boîte en un clin d'oeil.
Entrepreneur à succès, en Europe et aux États-Unis, Alexandre MARS est le Président-fondateur d'Epic et de Blisce, respectivement une fondation et un fonds d'investissement certifié B Corp, qui oeuvrent en faveur d'une meilleure justice sociale.
Dans ce livre vérité sur la maladie de Parkinson, Catherine Laborde raconte avec pudeur, émotion, humour aussi, ce mal qui touche plusieurs milliers de personnes, malades et aidants inclus.
« Après avoir réfléchi à mon quotidien, j'établis ainsi la liste non exhaustive des symptômes de la maladie de Parkinson qui me touchent : trembler, baver, tourner en rond, crampes, ralentissement de la marche, hésitations, mémoire récente défaillante, discours incohérent, cauchemars, perte de repères géographiques, main gauche tordue, constipation, larmes, sentimentalisme, trébuchements, insomnies, hallucinations fugaces. Mais aussi fourmillement dans les pieds, le dos, peur des escaliers, des vélos, de la vitesse, des bêtes sauvages, d'être abandonnée, d'être seule la nuit, peur de tout, perte des repères géographiques, généalogie incertaine, déambulations sans objet.
Est-ce que tout cela fait une maladie ? »
C'est l'une des plus grandes affaires criminelles du XXe siècle. Le 3 juin 1974, à Marseille, Marie-Dolorès Rambla, huit ans, est enlevée sous les yeux de son petit frère, Jean-Baptiste, puis retrouvée morte deux jours plus tard. Condamné à mort pour ce crime, Christian Ranucci sera guillotiné le 28 juillet 1976. Depuis, sa culpabilité a été remise en cause par l'écrivain Gilles Perrault dans son livre Le Pull-over rouge. Quarante ans plus tard, Jean-Baptiste Rambla a tué deux femmes. Il est devenu un criminel à son tour. Devant les psychiatres, il invoque le fantôme de Ranucci qui le hante et ceux qui, selon lui, ont « volé la vérité ». En revenant sur l'affaire Ranucci, appelée aussi l'affaire « du pull-over rouge », Agnès Grossmann retrace la tragédie de la famille Rambla, anéantie par la perte et le chagrin, emportée sans ménagement dans la tourmente judiciaire et broyée par la machine médiatique.
Ladies & gentlemen, Christopher Hitchens ! Journaliste frénétique, contradicteur-né, polémiste de génie, la légende des lettres britanniques nous donne ici son grand oeuvre : parce qu'il y raconte joyeusement sa vie, qu'il y livre ses pensées les plus décapantes, et parce que sa verve au vitriol nous régale toujours comme aucune autre.
Hitchens était tout à la fois : alcoolique et moraliste, progressiste et réactionnaire, anticapitaliste et proaméricain, juif et athée militant, plein d'empathie et vouant une haine profonde à Mère Teresa. Il donne ici une cohérence à ces paradoxes apparents, tous liés par une ironie assassine, un dégoût profond de la pensée tiède et un besoin incessant de gifler les cuistres à la volée. En toute amitié, bien sûr.
Une femme en tenue affriolante étranglée dans ses toilettes, un mort sans visage près d'une voie ferrée, un marginal suriné 76 fois avant d'être incendié... La table d'autopsie du docteur Sapanet, au CHU de Poitiers, ne désemplit pas. Chaque année, son équipe d'experts traite plus de 450 dossiers de morts suspectes ou criminelles à la demande de la justice.
Avec humour et pédagogie, Michel Sapanet nous plonge dans le quotidien d'une équipe de médecine légale, des constatations sur les scènes de crime aux auditions devant les cours d'assises, en passant par les autopsies, les reconstitutions criminelles, ou encore l'examen de rescapés de violences.
Autant de mystères sur lesquels l'auteur lève un coin de voile.
« Je suis l'une des rares survivantes qui aient eu la chance d'échapper à ce genre d'assassin. Ce récit m'était nécessaire et si j'ai eu le courage de reconstituer ce calvaire, c'est avant tout pour qu'un juge ne relâche plus les pédophiles à la moitié de leur peine pour «bonne conduite» et sans autre forme de précaution... ».
Le 28 mai 1996. Sabine Dardenne, 12 ans, est enlevée par Marc Dutroux sur le chemin de l'école. Après quatre-vingts jours d'enfermement, elle va être sauvée de la mort dans des circonstances extraordinaires.
Sabine Dardenne a longtemps attendu avant de nous livrer ce témoignage exceptionnel, qui donne une voix à toutes les victimes, et doit faire cesser la fascination pour les monstres.