Ce titre est celui de la chronique que Cavanna consacra en 1983 à la mort de son ami Reiser. De 1969 à 2013, dans les pages de Charlie hebdo, Cavanna signa plus de 60 textes détonants pour évoquer la disparition de maintes célébrités (De Gaulle, Mesrine, Mitterrand, Lady Di...), d'artistes et amis (Sartre, Reiser, Coluche, Doisneau, Topor...), mais aussi d'anonymes (un clochard) ou d'animaux qu'il chérissait.
Ce titre est celui de la chronique que Cavanna consacra en 1983 à la mort de son ami Reiser. De 1969 à 2013, dans les pages de Charlie hebdo, Cavanna signa plus de 60 textes détonants pour évoquer la disparition de maintes célébrités (De Gaulle, Mesrine, Mitterrand, Lady Di...), d'artistes et amis (Sartre, Reiser, Coluche, Doisneau, Topor...), mais aussi d'anonymes (un clochard) ou d'animaux qu'il chérissait.
Trois hilarantes parodies signées Pierre Jourde.
Et si, dans l'émission télévisée La Grande Librairie, aux côtés de Marie Boicussecq et Philippe Salers, Michel Klouelbecq comparait les saveurs des yaourts et des pâtées pour chien comme remèdes au suicide, tandis que Christine Ragot passait son temps à quitter le plateau en furie ? Les éclats de ces gloires littéraires parviendront-ils à entamer l'inoxydable flegme onctueux de François Tusnel ? Cela s'appellerait La Grande Solderie.
Et si, dans le film Alien, l'héroïne occupait la fonction de pédicure du bord, tandis que le commandant se préoccupait surtout de repasser son linge ? Même avec le renfort du chat et d'un stagiaire pour préparer le café, ces compétences suffiront-elles à combattre une race d'extraterrestres un chouïa agressive ? Cela s'appellerait Alein : le Mal de l'origine du retour.
Et si, dans le conte La Belle au bois dormant, le prince s'inquiétait de l'effet de sa coiffure, si la princesse se passionnait pour la forge et les enclumes, si les scènes étaient interrompues par une contrôleuse traquant le racisme, l'homophobie et la domination masculine ? Cela s'appellerait La Belle et l'Enclume.
Situations loufoques, répliques accablantes et scènes délirantes abondent dans ces trois jubilatoires parodies dialoguées, où l'écrivain iconoclaste Pierre Jourde dézingue façon puzzle icônes, poncifs et clichés avec un humour ravageur.
Écrivain et critique littéraire, Pierre Jourde a longtemps été professeur de littérature française à l'université. Il a publié une quarantaine de livres, dans tous les genres (poésie, essais, romans, satire littéraire, théorie de la littérature...), ainsi que des ouvrages avec divers artistes, et dirigé l'édition de Huysmans en Pléiade. Il tient une chronique sur le site culturel de L'Obs, Bibliobs. Parmi ses publications : Empailler le toréador (Corti, 1999), La Littérature sans estomac (L'Esprit des péninsules, 2002, prix de la critique de l'Académie française), Pays perdu (L'Esprit des péninsules, 2003), Festins secrets (L'Esprit des péninsules, 2005, prix Larbaud, prix Renaudot des lycéens, prix Thyde Monnier de la SGDL), Le Jourde & Naulleau (Mango, 2008), Le Maréchal absolu (Gallimard, 2012, prix Virilo), La Première Pierre (Gallimard, 2013, prix Jean Giono), La culture bouge encore (Hugo, 2016), Le Voyage du canapé-lit (Gallimard, 2019), La potiche a peur en rouge & cent autres fables express (Wombat, 2021), La Tyrannie vertueuse (Le Cherche-Midi, 2022).
C'est bien beau de chanter les louanges de la Nature, mais n'en fait-on pas un peu trop ? La Nature n'aurait-elle pas elle aussi des défauts ? Les violents orages, les blizzards bizarres, les chutes de météorites, le sable des plages qui s'infiltre partout, les pigeons malveillants et autres volatiles agressifs, les tarentules géantes et les chiens qui se mettent à parler... Autant d'épreuves pour les nerfs de n'importe quel individu sensé. Sans parler du jardinage ou de l'observation des colonies de fourmis, des occupations qui risquent fort de vous mener à la dépression
Café Panique, trente-huit histoires, loufoques & véridiques, récoltées par Topor dans les bistrots, où anecdotes, légendes urbaines et mythologies s'entrelacent, et où la réalité dépasse toujours la fiction.
Contes grotesques, burlesques et tragi-comiques distillés par l'imagination panique de Topor, l'ombre de Gogol, Bierce et Kubin plane sur ces fables cruelles.
Café Panique, c'est le grand Barnum des clowns humains, où l'on écoute l'histoire d'Attends-la-Suite, celle de Double-Face ou encore de Poney-Express et Vodka-aux-Herbes.
Café Panique est suivi de Taxi stories, quinze histoires récoltées par Topor dans les taxis. En route pour le Café Panique, bien entendu.
Naufragé sur une île, Gisou devient le Dieu vivant de la tribu des Zoas, qui se livre bientôt à un suicide collectif. Tous périssent, sauf un : le récalcitrant Proutto, qui finit par s'incliner devant la puissance de son Dieu. Ce dernier va exercer son emprise et sa domination sur toute l'existence de son esclave souffre-douleur, de son alimentation et de sa sexualité comme de ses rites... Mais l'arrivée de la princesse Aba, que Proutto souhaite épouser, va bientôt bouleverser les rapports du duo.
Critique féroce des rapports de domination, de la crédulité religieuse et de la soumission volontaire, cette contre-utopie drôle et féroce de Topor, aux accents sadiens, parvient à nous faire rire du pire.
Un homme divorcé et toujours en colère contre son ex-femme se retrouve un beau matin en état d'érection permanente ; une ravissante jeune femme qui rêve de célébrité s'imagine que tous les hommes la suivent dans la rue ; un lycéen redoute tellement de ne pas avoir d'amis qu'il envoie deux cents textos par jour. Tels sont quelques-uns des patients qui viennent - par hasard - consulter le docteur Irabu, un psychiatre obèse et fétichiste, assisté de Mayumi, une infirmière aussi sexy que revêche et exhibitionniste.
Cinq histoires qui se transforment en autant d'aventures improbables et hilarantes, et desquelles, pourtant, les patients sortent rétablis et reconnaissants. Irabu est-il un parfait idiot, ou un médecin génial ? Bien malin serait celui qui pourrait répondre à cette question.
« Les jeunes m'ont déçu. Ils meurent trop tôt. On n'a pas le temps de s'attacher à eux. ». Ainsi s'exprime le narrateur anonyme des Mémoires d'un vieux con, artiste de génie aux talents multiples qui traversa le XXe siècle en fréquentant tous les plus grands, inventant au passage le glissisme, le ponctualisme et le cubisme (à plusieurs reprises !) Lorsqu'il n'écrit pas le Manifeste du surréalisme ou Histoire d'O, il peint Guernica ou compose Porgy and Bess. Sans lui, ni Méliès, ni Picasso, ni Breton, ni Malraux, ni Trotski, ni Warhol, ni. ne seraient devenus ce qu'ils sont.
Les Mémoires d'un vieux con offrent la parodie définitive et sonnent le glas d'un « genre littéraire » qui est une véritable plaie : les mémoires prétentieuses. Une oeuvre de salubrité publique !
À Domrémy, en plein guerre de Cent Ans, une jeune enfant rêveuse et mystique prend les armes pour sauver la France. Un de ses amis d'enfance et futur compagnon d'armes, le sieur Louis de Comte, retrace l'épopée de l'une des plus grandes figures de l'Histoire de France.
Cette biographie romanesque, échevelée, magique, riche de fées comme de batailles, était considérée par l'auteur lui-même comme son chef-d'oeuvre.
Le regard que portait Mark Twain sur Jeanne lui inspira des pages d'un lyrisme aussi fervent que sublime ; et le soin qu'il prit à consulter en France les sources - en particulier les minutes du procès de condamnation de Jeanne d'Arc que venait de publier Jules Quicherat - lui ont permis de respecter la vérité historique tout en donnant cours à son fabuleux talent de conteur.
Un père de famille massacre toute la famille à l'issue d'un Noël traditionnel, une petite fille finit le réveillon suspendue au lustre, l'oncle Edith flanque des taloches aux garnements qui n'écoutent pas ses contes stupides... Quant à Robert Benchley, il se lance dans la fabrication d'une neige artificielle (" qui causerait autant de problèmes que la neige ordinaire "), milite pour la prohibition des cartes de voeux et s'enthousiasme pour l'ajout d'un " Jour de fin d'année " au calendrier, qui permettrait de récupérer de sa cuite du Nouvel An avant de retourner au bureau.
Composé aux deux tiers de nouvelles totalement inédites, Pourquoi je déteste Noël est un livre salutaire à offrir et à lire soi-même avant Noël (pour s'y préparer), pendant Noël (pour le supporter) ou après Noël (pour s'en remettre).
Dans une ville inconnue d'Europe de l'Est, un homme esseulé et exilé de Paris, qui ne comprend pas la langue locale, erre par les rues... Honteux de sa corpulence, il fait pourtant diverses rencontres féminines, qui vont le conduire à se blesser le pied gauche. De cette plaie purulente, il ne tarde pas à tirer un étrange plaisir : car dans ce pied apparaît Suzanne, son amour disparu... Ce conte noir à l'ambiance « kafkaïenne » (on pense ici au Château) bascule alors dans une histoire d'amour fou très « toporienne ».
Après Le Locataire chimérique (1964) et Joko fête son anniversaire (1969), Portrait en pied de Suzanne (1978) vient clore dans l'oeuvre de Topor sa « trilogie noire » romanesque, placée sous le signe de Kafka. La présente édition est augmentée de six dessins inédits de Topor.
Comment ridiculiser son cancer ou arrêter de fumer pour de bon ? En se suicidant, bien sûr ! « La vie augmente, la mort reste abordable », constate à juste titre Roland Topor dans ce recueil de cent aphorismes aussi noirs qu'amusants. Ces Cent bonnes raisons pour me suicider tout de suite sont suivies d'un fort précieux guide détaillant Douze possibilités d'échapper à Noël à travers des solutions originales et tout aussi radicales, comme « Devenir bouddhiste ou musulman » ou « Perdre la mémoire en se tapant sur la tête ».
Un pétillant recueil inédit de mauvais esprit Panique et d'humour noir hara-kirien, signé Topor.
« Topor fabrique un univers magique et souriant qui nous aide à comprendre le monde et à le vivre mieux. Sa noirceur naturelle, il en a fait une lumière pour les autres... et un peu pour lui. C'était ça, son génie, c'est ça qui le plaçait définitivement bien au-dessus de la mêlée. » (Extrait de la préface de François Rollin) Composé par l'auteur lui-même en 1996, Vaches noires est le dernier livre de Roland Topor, paru à titre posthume en 2011. Ce recueil de 33 nouvelles concentre les thèmes qui lui sont chers : l'aliénation par les choses et l'argent, la déchéance physique, la hantise du temps qui file et de la mort qui rôde. Le tout baigné dans cet humour noir grinçant, ce sens inné du grotesque, cette fantaisie tantôt blagueuse, tantôt inquiétante, qui furent la marque de l'auteur.
Dessinateur, peintre, écrivain, dramaturge, poète, chansonnier, cinéaste, acteur, etc., Topor dessine pour Hara-Kiri et reçoit le prix de l'Humour noir dès 1961.
Son premier roman, Le Locataire chimérique, sera adapté au cinéma par Roman Polanski ; il écrira aussi des recueils de nouvelles et des pièces de théâtre. Du film d'animation La Planète sauvage à l'étonnant Marquis, en passant par Palace et Téléchat, il marquera de son empreinte et de son humour noir féroce le cinéma et l'audiovisuel.
« La fable express est une parodie de fable, qui naquit à la fin du XIXe siècle, époque de fantaisie, d'invention et de jeu avec la langue. La recette en est simple : une poignée de vers de mirliton, aromatisés à l'absurde, à l'insolence ou à l'obscénité, et une « morale » en général très peu morale, qui parodie parfois dictons et lieux communs, mais sans obligation. La « morale » est à double sens : elle cache une autre formule, qui se prononce de la même manière mais dit tout autre chose.
Bref, c'est un calembour. Le but ? Le jeu, le rire. » (P.
Jourde) Après une savoureuse présentation, Pierre Jourde revisite en 101 fables ce drôle de genre littéraire, exercé entre autres par Alphonse Allais, Boris Vian et Marcel Gotlib. Un vrai manifeste pour une littérature humoristique et populaire.
« Tous les journalistes sont des menteurs et des putes », rappelle Manchette au fil de ses chroniques vagabondes de cinéma, virulentes, érudites, ludiques et caustiques, nourries de la devise situationniste que « l'Art est mort » et refusant la critique culturelle promotionnelle.
Si selon lui le summum du cinéma fut déjà atteint avec Citizen Kane, Manchette ne dénigre pas pour autant de nouveaux réalisateurs prometteurs (Spielberg ou Carpenter) ou de distrayantes séries B. Mais c'est dans ses analyses émues de classiques (Lang, Ford, Cassavetes...) qu'il exprime toute la lucidité érudite de son regard sur l'objet cinématographique. Quant à ses détestations, elles donnent lieu à de jouissifs massacres « en règle » où l'humour stylisé et féroce de l'auteur se laisse libre cours.
« Quand j'atteindrai quarante ans, mes facultés se seront peut-être repliées, telle la corolle des fleurs au crépuscule, me laissant incapable d'écrire mes mémoires en y mettant la dose idoine de sobre inexactitude, ou alors, étant venu à bout de la tâche, incapable d'aller les porter à mon éditeur. » C'est donc dès les années 1930, dans les pages du New Yorker, que James Thurber (1894-1961) fait paraître Ma chienne de vie, autobiographie loufoque racontant sa jeunesse au sein d'une famille farfelue de l'Ohio. De l'effondrement du lit paternel à la visite nocturne de bien étranges fantômes, des lubies du chien Muggs à celles d'un grand-père hanté par la guerre de Sécession, Thurber transforme les petits événements de la vie en minuscules épopées cocasses, tendres et ironiques.
Obnubilé par les conquêtes féminines de son voisin, un otaku épie leurs parties de jambes en l'air pour d'acrobatiques séances de masturbation. Prête à tout pour tromper son ennui, une femme au foyer se lance dans le porno. Un vieux briscard du roman érotique se paie de très jeunes filles pour retrouver l'excitation. Une femme obèse drague dans les bibliothèques puis filme ses ébats à l'intention d'un public d'amateurs très spécialisé...
Six marginaux, dont les destins vont s'entrecroiser à Tôkyô. De la nécessité à l'envie, la sexualité parfois pathétique de ces âmes en peine reflète leur recherche désespérée du contact humain dans la vaste métropole anonyme.
Un roman d'un réalisme cru et parfois dérangeant, mais toujours empreint de compassion et d'humour envers ses personnages.
Selon Max Disher, jeune Noir à Harlem en 1930, un membre de sa communauté n'a que trois alternatives : "Foutre le camp, devenir blanc ou serrer les dents". Incapable de partir et n'appréciant guère de s'aplatir, Max va bondir sur la deuxième opportunité. En effet, grâce à Black No More, mystérieux procédé créé par le Dr Junius Crookman, qui transforme la couleur de peau, Max et une foule de clients empressés sont blanchis et peuvent ainsi s'introduire dans le monde interdit des Blancs. Or ces derniers sont-ils vraiment plus heureux ?.
Roublard et opportuniste, notre héros ira au terme d'une rocambolesque aventure qui fera de lui le porte-parole d'une nouvelle organisation suprématiste blanche, les Chevaliers de Nordica, s'insurgeant contre la transformation de la race à grande échelle !.
Jeune homme travailleur, Joko se rend à son travail à la citerne de la ville, comme tous les matins, lorsque subitement un homme lui saute sur le dos et lui ordonne de le porter, contre rémunération, jusqu'à son hôtel. D'abord outré d'être pris pour une bête de somme, Joko ne tarde pas, comme ses collègues, attirés par l'appât du gain, à changer d'avis et à se vendre. Mais la dépendance entre Joko et ses clients va prendre des formes tout à fait étranges et monstrueuses, l'entraînant avec toute sa famille dans un véritable cauchemar.
Relecture « Panique » de la théorie du maître et de l'esclave, fable cruelle et kafkaïenne, d'une drôlerie grinçante, sur l'aliénation de notre rapport au travail, Joko est un des romans les plus noirs et féroces de Topor.
« Max Lampin est bien petit par rapport à ma haine. C'est un sale type, d'accord, mais pas exceptionnel. D'ailleurs, cela ne changerait rien s'il était un petit saint. Alors pourquoi m'en prendre à lui avec une telle violence, une telle hargne ? Je vais vous le dire.
Lorsque, comme moi, on est vieux, pauvre, malade, humilié, bafoué, on n'a plus l'orgueil de ses ennemis. Le premier venu suffit. Il permet de soulager sa bile, c'est le principal. Quand celui-là aura servi, on en prendra un autre. L'important, c'est de ne pas crever de rage. » (Roland Topor).
Certains se détendent grâce à des livres de coloriage. D'autres ont besoin d'exercices de détestation ou de magie noire pour rester zen : projetez donc votre colère sur Max Lampin, le Con suprême. Vous en serez soulagé !
Un professeur de latin-grec houellebecquien s'engage en politique pour des raisons peu avouables, qui lui coûteront 7500 euros. Une Emma Bovary moderne se pâme devant un start-uppeur en marche. Un dîner proustien donne à l'expression « en même temps » une saveur inattendue. Au cours de son enquête sur une campagne présidentielle, Emmanuel Carrère bascule dans une introspection sans concession qui se solde par une violente douleur au nombril, tandis qu'Eddy Bellegueule veut en finir avec Édouard Louis...
Entre hommage et parodie, jeu littéraire et satire sociale, David Spector imagine dans ces 12 pastiches jubilatoires comment des auteurs aussi divers que Flaubert, Dostoïevski, Nabokov ou Marc Levy auraient évoqué une présidentielle, chacun avec son style propre. Humour caustique garanti !
Savez-vous que les JO modernes ne furent pas créés par Pierre de Coubertin, mais initiés par un docteur anglais, W. P. Brookes, en 1850 ? Que le bois de Boulogne, lors des JO de 1900 à Paris, fut jonché de cadavres sanglants de volatiles, à cause de l'épreuve de tir aux pigeons vivants ? Connaissez-vous George Eyser, vieillard de 33 ans qui décrocha 6 médailles en gymnastique en 1904, malgré son très léger handicap :
Une jambe de bois ? Ou encore Shizo Kanaguri, coureur japonais qui prit le départ du marathon aux JO de Stockholm en 1912, ne franchit jamais la ligne d'arrivée et s'évanouit dans la nature...
Cette trentaine d'histoires authentiques et cocasses, célébrant les « losers » comme les « winners », sont narrées avec humour et passion par l'érudit sportif Thierry Beauchamp.